Pong Chaos : Poing Châotique, Pong Chausse, Panique et Pixel Ponk !
Un classique qui glisse, dévisse, se hisse et s’éclipse
Né du mythe Pong, pondu dans les années septantes,
Voici venir son fils bâtard et incandescent :
Pong Chaos, farce quantique, raquette lysergique,
où la balle ricoche comme un mot en panique.
Plus de logique — place au tragique !
Un pixel s’égare, un mur s’enfuit,
le score se tord, la souris s’écrie : « C’est lui ! »
(ou peut-être son contraire, dans un autre univers).
Un mode, un môme, un môme qui moud les mondes
Un seul mode ? Oui, mais quel mode immonde :
tu joues contre ton double, ton ombre, ton globe,
ton ordinateur docte et docteur en désordre.
Chaque rebond te répond, chaque raté t’apprend
qu’ici, la gravité travaille à mi-temps.
Accessible à tous, surtout à personne
Pas d’installation : le chaos s’installe seul.
Dans ton navigateur, il navigue sans vergogne.
Une touche, une touchette, et te voilà poète,
martelant ton clavier comme un clavecin de guerre.
Souris ou clavier, la vie ou le gravier —
choisis ton outil de perdition légère.
Sous le capot, un capharnaüm propre
Python bave dans un coin, JavaScript gigote,
les deux s’asticotent dans un pot de variables.
Le code, mi-fou, mi-fondant, mi-montant,
s’exécute à la fois ici, là-bas, et peut-être jamais.
Pourquoi tenter le diable, sinon pour voir Dieu lagger ?
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Nostalgeek : replonge dans le rétro, mais sans les garde-fous.
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Chaos-cohérence : la balle pense, toi non.
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Partage spartiate : un lien, un rien, un lien vers le néant.
À toi de jouer ? À toi de jouir.
Viens défier la logique sur pong-chaos.jpn.ovh —
tu n’en sortiras pas meilleur, mais peut-être plus flou.
Car dans le royaume des pixels ivres,
celui qui rate bien vaut mieux que celui qui gagne mal.