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Autoportrait devant un miroir, appareil Mamiya C220 120mm et lentilles 80mm. Pellicule Lomography.
Je m’appelle Stéphane BDC, je suis né dans le sud-ouest de la France. J’ai exercé dans de nombreux domaines. Dans l’ordre, j’ai été : Magasinier dans la fourniture industrielle à Angers et Niort, responsable logistique dans le vêtement professionnel, responsable marketing de centre de fitness de luxe à Courbevoie, webmaster, illustrateur de la revue TSIMTSOUM, livreur motorisé chez Speed Burger à Angers, producteur d’événements chez Havas, rédacteur au planning stratégique chez MPG France, agent de hotline du service technique OVH.com. C’est après cela que j’ai été photographe lors de la création de l’agence de communication du groupe OVH. J’ai ensuite suivi une formation intensive et personnalisée de production audiovisuelle à l’ENS Louis Lumière à Saint-Denis. Je suis devenu producteur de contenus vidéo pour OVH.com. Aujourd’hui je suis photographe freelance au Japon.
N’étant ni soutenu par des mécènes, ni pété de thunes, je ne peux pas m’enorgueillir comme certains, de me consacrer entièrement à mon artisanat, même quand cela ne m’apporte aucune source de revenu. Le Japon étant un pays regroupant quand même pas mal d’expatriés riches, j’ai évidemment été obligé d’essuyer les critiques ou de supporter un étourdissant mépris de la part de ce genre de phénomènes encore plus méprisables que méprisants : ces types qui sont complètement tranquilles financièrement, sans être obligé de bosser, et qui déversent une arrogance déplacée en pavanant le sur fait de ne pas travailler dans un domaine autre que leur corps de métier, leur art ou je ne sais quelle niche à la con, sous prétexte, s’il s’aventuraient à bosser, de diluer leur savoir-faire, gaspiller leur temps et perdre en crédibilité. Même s’il y a bien un peu de vrai là-dedans, on est loin du niveau de pertinence qu’une paramécie elle-même démontre sans dire un seul mot, faut quand même qu’ils s’accrochent à quelque chose de vrai ces gros bébés gâtés, arrêtons la déconnade, quand t’as un loyer à payer, utilise ton corps mec, soit un homme, trace une ligne, pas de raison de renier l’aspect artistique des chemins de nos vies. DONC : En tant que freelance, la photographie ne permet pas payer toutes les factures. Je suis aussi acteur pour la télévision Japonaise et j’ai fait quelques jobs de mannequin. Je suis aussi professeur de Français dans des centres culturels autour de Tokyo et professeur particulier. J’ai un petit job de « consultant » (en vrai c’est « model student » et c’est pas payé bien cher) en tant que testeur de professeurs de Japonais. Je suis aussi formateur d’ateliers de photographie à Tokyo, Street-Photography, Photographie créative, photographie de nuit. Pour garder la forme, j’ai été postier de prospectus et livreur pour Uber Eats. Je suis aussi rédacteur pour des sites internet français. J’ai récemment déménagé et je suis maintenant ALT (Assistant Language Teacher) dans les écoles publique, prof d’anglais quoi… Pour faute de revenus stables, ma demande pour devenir résident permanent au Japon a été refusée, j’ai pourtant participé activement à la fabrication d’un être humain de nationalité japonaise, je le nourris aussi. J’ai toujours payé toutes les taxes, impôts, cotisation de sécu et de retraite, et pourtant, ce n’est pas suffisant.
Pour moi, la photographie est une passion, mais aussi un artisanat, des techniques à perfectionner, des connaissances à exploiter et un savoir à transmettre. C’est évidemment un Art, mais ça c’est une littérature qui mérite mieux que moi, je n’ai pas réussi à ouvrir les vannes pour déverser cet encombrant bagage artistique qui pue et qui pèse, c’est principalement à cause d’un problème de vanité, c’est en cours de mise à jour. Enfin, la photo, c’est surtout un moyen de communiquer, c’est une grammaire de l’icône, un chemin émotionnel, une chose vivante. Et c’est aussi les machines à utiliser, voila donc, la raison d’être de ce site internet, intelligemment baptisé « Mon Matos ».
Les photos que je fais
J’ai plus d’un millier de photographies argentiques partagées sur ma « home » chez Lomography et j’ai été plusieurs fois référencé dans leur magazine. J’ai mon site professionnel http://stephane.photo et un compte Instagram.
Quelque sites spécialisés dans le type de métier, la photographie de portfolio pour modèles professionnels
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